Après 2 jours, la résolution du Conseil de Sécurité sur le Sahara Occidental a ignoré la situation des droits de l’homme sur le territoire et n’a pas établi un mécanisme de surveillance des droits de l’homme, à cause de la pression politique de la France.
La police d’occupation marocaine et les forces paramilitaires ont continué de réprimer et de persécuter les militants sahraouis.
Aujourd’hui, le 31 octobre 2021, un groupe d’activistes sahraouis comprenant des femmes rescapées des prisons secrètes américaines d’Agdez et de Kela’at Megouna, et d’autres défenseurs des droits humains tentaient de participer à une manifestation pacifique en commémoration des 46 ans d’invasion marocaine et de l’illégale occupation de leur pays.
Les manifestants ont été soumis à la torture, à l’humiliation, aux abus et aux coups par des personnes bien connues pour leur graves crimes contre les Sahraouis.
«Cette action irresponsable de la puissance occupante marocaine est clairement confirmée par sa réponse négative et son mépris des résolutions du Conseil de Sécurité qui faisaient appel au respect des droits des Sahraouis à exprimer pacifiquement leurs opinions politiques. Une honte pour la France, qui s’est bien appliquée à servir les desseins hostiles de l’occupation illégale marocaine», a déclaré Najat Knaibila, une militante sahraouie des droits de l’homme qui a passé 16 ans dans une horrible prison secrète marocaine.
Équipe Média, Sahara Occidental occupé
Le 31 octobre 2021